Pangrammes : autres langues

The pangrams

Morales élémentaires

Forme fixe inventée par Raymond Queneau qui la définit ainsi : “ D’abord, trois fois trois plus un groupes substantif plus adjectif (ou participe) avec quelques répétitions, rimes, allitérations, échos ad libitum ; puis une sorte d’interludes de sept vers de une à cinq syllabes ; enfin une conclusion de trois plus un groupe substantif plus adjectif reprenant plus ou moins quelques-uns des vingt-quatre mots utilisés dans la première partie. ”

Hétérogrammes thématiques

Comme le nom l’indique il s’agit de bâtir un pangramme sur une base donnée : faune, flore, chimie, villes etc

Monosyllabes

Il s'agit de l'utilisation exclusive de mot d'une seule syllabe. Le premier travail consiste à définir le monosyllabe en français et à en sélectionner le corpus. [en construction]. La quintessence du travail réside dans deux ouvrages :

René Droin : Tom (ou les mots les moins longs ne sont pas les moins bons), Belfond, 1991.
Dr Joinul : Le Dicomono.

Détournements et surcontraintes des hétéropangrammes

Mots introduits (Mozin)

homoncule, protosinaïtique, nouille, intime, fédéral, poutre, irisé, frisson, lie-de-vin, mascara, sarcler, dysphorique, in-quarto, glaïeul, teigneux avec surcontrainte : alexandrins si possible raciniensDans le dictionnaire du vocabulaire racinien homoncule n'apparaît que sous la graphie homuncule. Cela ne change rien mais restons sabrigoureux.(NdAZ)

Pangramme : un peu d’histoire et quelques classiques

On en trouve en 1861 deux hétéropangrammes cités par Eckler et dûs à De Morgan (le mathématicien), ou à un de ses disciples, dans lesquels le J est identifié à un I et le V à un U comme dans les inscriptions anciennes.

LIPOGRAMME

Un mot savantLe Petit Larousse définit le lipogramme comme un texte affectant ne pas utiliser une ou plusieurs lettres particulières de l’alphabet. pour désigner une contrainte simple : il s’agit de produire un texte sans utiliser une (ou plusieurs) lettre(s) donnée(s).

Pangramme : définitions

Définitions :

Le pangramme est le contraire du lipogramme que Littré définissait comme un texte affectant ne pas utiliser une lettre particulière de l’alphabet. Le mot est issu de deux racines grecques pan (toutes) et gramme (lettres).

Isovocalismes en O