Sonnet sans titre


Donné en fait ultérieurement par Luc Etienne pour le véritable et seul authentique sonnet à trois sens d'Adoré Floupette. Comme vous pourrez le constater, deux des trois sens sont nettement "apparents", toujours selon Luc Etienne .Voici ce poème :

Se mémore mon âme une glauque fragrance
Emmi les noirs cruors d'un pertuis flexueux
Qui dans I'oaristys hallalise, onctueux,
Les glis de mon gnomon dans sa synchrone allance.

Vénuste, acuminant la vernale étirance,
Le sadinet pelu, d'un geste habitueux,
Fait grisoller I'iynge à l'orbe fastueux.
Que semble ramoitir l'algide liquescence

Effusant un vortex plein de dicacité
La sardoine* défloque en sa flaccidité
Et le callibistry s'illune de moirures

Quand sur l'algue nitide à l'éclat hyalin,
En la flache où s'irise un reflet zinzolin
Fulguramment s'éperle un flamboi d'ocellures.

*l'original indique sardine, mais la correction d'auteur est bien sardoine

Note du rédacteur : Après de nombreuses études complémentaires il a été avéré qu'il s'agissait d'un document apocryphe signé par un homononyme de Luc Etienne ou d'un individu se faisant pour lui passer. Il n'en demeure pas moins que le troisième sens demande toujours à être décrypté et que toute indication peut être donnée via ma boite aux lettres