Didier Meurgues

le dernier venu sur Fatrazie, avec des textes en devenir

Émir, ce livre saisi a servi le crime. (29)
Il a le bec rasé, cruel, leur César, ce bel Ali. (34)
Il a rasé ce vaincu si nu. Ni suc, ni ave César, Ali ! (37)
Émir, ce livre saint n'a ni modèle véritable, tel bâti rêvé le dominant, ni a servi le crime. (71)
Et éperdu, à la suce dru ! Ô main, ce serre-vin ! Ici, ô l’amer bossu on a l’âge légal. À nous sobre Malo ! Ici, ni verre sec, ni amour déçu, salaud ! Répète ? (109)
À mufti, art, nu, du bel air, lied imité ! Nu, l’été, rêves-tu zen à sa bru ? Ô pur désir ! Fi ! Zizi frisé dru pour basané ! Zut ! Sévère, tel une timide, il ria, le bu d’un trait, fuma. (125)
Il a le bec rasé, cruel, édenté, pelé, la pisse rare. Mais là, viril, à sexe velu ! Asexué, idole de vertu ? Bel imam ami, le but rêvé de l'odieux Esaü... Le vexé sali. Rival si amer, Arès si pale. Le pet né de leur César, ce bel Ali. (165) (a)
Émir ce livre saint n'a ni moderne gnose (désir bref si amer, vil Eden à lune, nu asexué idole de vertu), bel imam ami, le but rêvé de l'odieux Esaü né nul (âne délivré), mais fer brisé de son genre dominant, ni a servi le crime. (171)
Il a annoté : le pet né de leur cul éventé, nabab suce écus, baba net né velu, cruel édenté pelé, tonna, Ali ! (80)